Le 3 août je commençais ce nouveau régime (ou rééquilibrage alimentaire pour ceux qui n’aiment pas appeler un chat un chat). Franchement j’ai bien géré (et bien perdu). Ou plutôt je n’ai pas eu à gérer grand chose. Tout s’est déroulé de façon simple et sereine. Jusqu’à la semaine dernière…
Un long fleuve tranquille
Comme je vous l’avais dit lors du bilan du 1er mois, tout se passait bien, je prenais plaisir à manger, à mieux cuisiner (et davantage), je dormais mieux, j’étais plus sereine. Sauf que je gardais dans ma tête un fait simple : tout ça c’est psychologique. Quand on me dit « ben voilà tu as trouvé la technique ». La technique, quand on a un rapport compliqué à la nourriture (ou à l’alcool, ou à la drogue, bref une sorte d’amour-haine pour un produit), ça n’existe pas. Il y a juste des phases de répit, des périodes où il est plus simple de lutter contre ses démons sans trop y penser.
Et puis le diablotin ressort
Et puis le déménagement…et puis le stress au travail…et une plaque de cuisson qui ne fonctionne pas…un bon cocktail de fatigué, d’énervement et de frustration que le cerveau chercher à compenser. Une volonté amoindrie et BAM le petit écart qui fait mal. Parce que ce petit écart ce n’est pas celui pour le plaisir de temps en temps. Non, c’est celui de l’engrenage, celui qui ouvre la porte au n’importe quoi. C’est pour ça que, parfois, quand on me dit « oh allez quand même une petite soirée à manger et boire n’importe quoi flinguera pas ton régime ». Ben si.
Parce qu’après je ne sais plus m’arrêter. C’est pourquoi je suis si stricte, je me connais. Après il est très dur de m’arrêter et surtout je ne sais pas faire dans la mesure.
Alors oui on a le droit de craquer, que ce soit dans un régime, dans notre vie de parent, dans notre vie tout court. Craquer un peu avant de craquer trop, pour mieux repartir. Et surtout arrêter de se dire que Micheline, elle, ne craque pas. Vous n’en savez rien.
Et on repart
Donc je sors d’une semaine complète de grand n’importe quoi. Mais vraiment n’importe quoi. Je ne me suis donc pas pesée cette semaine, ça serait complètement suicidaire de ma part pour la suite. Mais j’évite de culpabiliser, ça serait pire. Et je repars aujourd’hui. Toujours pas de régime extrême, juste les bonnes bases du début qui m’ont fait passer des mois d’août et de septembre très agréables sur le plan psycho comme physio.
Il va falloir batailler à nouveau pour éloigner le stress causé par le taff, par les nuits trop courtes et le quotidien trop speed. Et surtout penser à cette semaine de vacances…en janvier…où toute la pression de l’automne retombera et où on sera enfin ensemble, tous les 3, pendant 6 jours.
C’est reparti les amis !
Maman en Chantier
Il faut surtout déculpabiliser. Ca fait chier sur le moment, mais ce craquage arrive fréquemment ! Si en plus tu te sens d’attaque pour recommencer sereinement, alors c’est parti ! Bon courage.
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Lâche pas !!!! Bon courage pour retrouver la motivation…
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merci beaucoup !!
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Courage à toi !
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😘😘
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Tu as raison, culpabiliser n’est pas la chose à faire ! 😀 courage pour la suite! des bisous!
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merci pour ton soutien !+
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Courage à toi. Parfois, il faut cet écart, cette semaine de n’importe quoi pour mieux repartir! On ne peut pas être irréprochable tout le temps! Les bonnes habitudes vont vite revenir, tu verras 🙂
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malheureusepent je t’avoue qu’avec le stress j’ai bcp de mal a repartir 😢
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Courage !! Je me suis reconnue dans ton article et je te comprends. Allez on se motive sans se faire violence 😀 C’est en allant à notre rythme que les résultats sont les plus conséquents.
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malheureusement depuis cet article je n’ai pas réussi à reprendre 😦 trop de stress
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Oui je comprends 😥 mais tiens bon, tu es sur la bonne voie !
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