Tu la vois la nana qui se la raconte quasiment 8 mois à dire qu’elle est hyper sereine et qu’elle a jamais été aussi sûre d’elle ? Ben jusque-là c’était vrai. Et paf, arrive le jour où cette même nana se met à baliser grave :p.

Tu la vois la nana qui se la raconte quasiment 8 mois à dire qu’elle est hyper sereine et qu’elle a jamais été aussi sûre d’elle ? Ben jusque-là c’était vrai. Et paf, arrive le jour où cette même nana se met à baliser grave :p.
Aujourd’hui commence la valse des rendez-vous à la maternité : cours de préparation à l’accouchement (3 contre 6 pour fiston vu que je suis désormais une « multipare » wouhou), avec la sage femme, anesthésiste et un rdv spécifique touchant à la dépression post-partum vécue pour ma première grossesse. Avec ça, on commence forcément à penser à l’accouchement et à nos espoirs. Totalement différent de la première fois étant donné que ce n’est plus un événement inconnu…
Partout où je passe sur le net, je vois une ambiguïté. Il y en a qui se demandent pourquoi on ne leur a pas dit ça et ça avant, et puis d’autres qui, au contraire, auraient préféré découvrir et à qui on a imposé des images, souvent sans explications, faisant naître la confusion. Finalement, y’a t-il vraiment quelque chose de préférable ?
Forcément avec une annonce à presque 4 mois et demi, pas vraiment eu le loisir de parler du premier trimestre. Alors je reviens sur cette première moitié où je me demandais si j’allais revivre une seconde grossesse similaire ou carrément différente…
Si j’avais su il y a 2 ans que je parlerai un jour de fiston comme étant « exclusif » avec sa maman…Pourtant c’est le cas, alors quand j’ai appris ma grossesse, je me suis posé beaucoup de questions sur sa capacité à encaisser le choc.