La visite de l’école maternelle de fiston a marqué le coup d’envoi de cette nouvelle étape, ça y’est on a plongé dans ce grand bain qui va durer…oh entre 15 et 20 ans, une broutille. Alors je pense que lui comme nous avons besoin de nous y préparer.

La visite de l’école maternelle de fiston a marqué le coup d’envoi de cette nouvelle étape, ça y’est on a plongé dans ce grand bain qui va durer…oh entre 15 et 20 ans, une broutille. Alors je pense que lui comme nous avons besoin de nous y préparer.
Fiston étant né en février 2016, il a actuellement 2 ans et demi donc il pouvait légitimement prétendre à une place à l’école au mois de septembre, du moins dans notre ville. Pourtant, nous avons décidé de le faire rester en crèche familiale encore un an.
En cette fin d’année, je tire le bilan de cette première année de crèche familiale, ce mode de garde dont j’avais hyper peur le 5 septembre, date d’entrée de mon fils chez sa nounou…Et nous sommes déjà aux premières vacances, déjà !
Autant le dire de suite : à la base, je refusais catégoriquement l’idée d’une nounou. Ce serait crèche collective puis voilà. Pourquoi ? difficile à dire, question de confiance je crois. Je me disais qu’une personne seule ne serait jamais contrôlée, donc sujette à faire des mauvaises choses…Et quelque part jalousie sûrement, d’imaginer quelqu’un tout le temps avec mon fils.
Bref, à 3 mois de grossesse, je me suis inscrite sur liste d’attente pour septembre 2016, soit aux 6 mois de chou-bébé. Aux 3 mois de bébé, nous avons dû remplir un papier indiquant nos souhaits concernant la structure : crèche collective, crèche familiale, crèche auto-gérée (un truc dans le genre me souviens pas bien..).
Dans mon esprit, une crèche est une crèche. J’ai donc coché toutes les crèches qui rentraient dans nos horaires. A l’attribution de notre place je suis tombée de haut en découvrant le principe de la crèche familiale.